El Blog — المُدونه

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viernes, 15 de noviembre de 2013

JE NE SAIS PLUS QUOI DIRE / YA NO SÉ QUE DECIR

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Traduce al español:
 
GWENDOLINE TAFFIN – TUNSOL
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JE NE SAIS PLUS QUOI DIRE "par Slah Pacha"

Je ne sais plus quoi dire !
Ni quoi penser de mes jours,
Et vous m’entendez souvent,
Parler mal de leurs jours,
En reconnaissant que par moments,
Même, à mes courts instants
De réflexion calme,
Je prends des larmes à mon cœur
Sans humidifier mes yeux.
Et le long de mes jours qui passent !

Je ne sais plus quoi dire !
Ni quoi penser de mes jours,
Et vous m’entendez souvent,
Parler mal de leurs jours,
En reconnaissant que par moments,
Même, à mes courts instants
De réflexion calme,
Je prends des larmes à mon cœur
Sans humidifier mes yeux...

Et le long de mes jours qui passent !
Je me fais rencontrer l’image
D’un combattant pour la liberté,
Le digne Arafat,
Qui me dit qu’on a oublié
Ma Palestine meurtrie…

Et je reçois des nouvelles…
Qui se veulent de larmes,
Qu’on cherche à faire mal
A ma belle et courageuse Syrie,
En projetant de tailler ses veines
Qui font du bien à mon sang !

Et d’autres nouvelles
M’arrivent aux oreilles
D’une grande Histoire
Sacrifiée à l’autel
D’un intérêt méchant,

Et du reniement d’une lumière

Jamais éteinte de son feu,
Bagdad, Bagdad qui a dessiné,
A la lumière, sa voie,

Et quand je sais

Qu’ils se font louer des traitres

Pour remonter l’histoire,

Et faire descendre l’Égypte

Je me dis qu’ils ne vont pas cesser,

De payer des traitres et des fils de traitres

Pour rabaisser l’Égypte

Et ce n’est pas, de mauvaises relations,

Qu’a besoin la fille du Nil

Mais des bras de Pharaons

Pour relever ses Pyramides


Et quand on me dit,
Pour rajouter à ma douleur
Que ces jours ci, des caravanes,
Se mettent à avancer
D’un méchant bruit,
Sur les droits des Hommes
Pour ne plus faire de place,
Ni au respect ni au partage,
Ni même, à des bouts de chants,
Fais de poésies et d’amour Humain

Et je me fais mal
Quand je prends à mon visage.
Les nouvelles de la Libye,
Qui insistent à me dire
Qu’ils veulent la reprendre
A la traine des chameaux,
Et lui barrer le chemin,
D’une vie digne et libre
Et qu’ils utilisent à ses fins
De vieilles montures
Qui se font conduire,
Par des chameaux imbéciles,
Et iveulent me faire oublier
La valeur du, Omar qui s’est choisi.
Pour défendre la fierté des Hommes
Et je reconnais enfin que j’en arrive
A aimer, risquer ma vie
Quand je vois de mes yeux

Qu’ils veulent construire chez nous,
De mauvais murs, dans nos murs
Qui regardent le ciel
Et prient l’intérêt étranger,
Et je me rends compte
Qu’ils les ont bien choisis
Pour démolir nos chances
Et nous faire rétrodiner
Comme je l’ai déjà dit !

Et quand mes yeux fatigués
Ne veulent plus voir,
Et que mes larmes se refusent,
Mon cœur se met à battre,
Et fait remonter, le jugement à ma tête,
Et je me dis qu’ils sont allés très loin,
Qu’ils ont exagéré leurs privilèges,
Qu’ils ont exagéré leur force
Et qu’ils ne pourront pas tenir,
Longtemps en laisse,
Des hommes intelligents et décidés,
A défendre leur foi libre !

Et je reviens à mes jours, et je dis,
Faites attention et n’oubliez jamais
Que la douce et belle Tunisie
Peut rapidement se faire
La mère courage, que les siècles ont connue,
Et qui a défendu ses enfants, de son sang
Quand on a voulu les piétiner
Ou atteindre à leur foi juste,
Et c’est la terre qu’elle mettra en feu
Sous les pieds de l’agresseur,
Et elle se suffira seulement, de ses griffes,
Pour éloigner les méchants loups !

 

YA NO SÉ QUE DECIR por Slah Pacha

 

¡Ya no sé qué decir!

¡Ni qué decir!

Ya no sé qué decir

Ni qué pensar de mis días

Y me oye es a menudo

Hablar mal de sus días

Reconociendo a ratos,

Incluso, durante corto ratos,

De sosegada reflexión

Cojo lágrimas de mi corazón

Sin humidificar mes ojos...

 

Y a lo largo de mis días que pasan

Me hago encontrar la imagen

De un combatiente por la libertad,

El digno Arafat

Que me dice que se ha olvidado

Mi palestina herida...

 

Y recibo noticias

Que se quieren de lágrimas,

que se busca a dañar

A mi hermosa y valiente Siria,

proyectando cortarle las venas

que tanto bien hacen a mi sangre

y otras noticias

Me llegan a los oídos

de una valiente historia

Sacrificada al altar

de un interés maligno,

y del renegar de una luz

jamás apagada de su fuego,

Bagdad, Bagdad, que ha dibujado

A la luz su vía

 

Y cuando se

Que se alquilan traidores

Para remontar la historia

Y hacer descender  Egipto

Me digo que no van a parar

 

De pagar a traidores e hijos de traidores

Para rebajar a Egipto

Y no es de malas relaciones

Para volver a levantar a las pirámides

Y cuando se me dice

Para sumar a mi dolor

Que estos días, caravanas

Se ponen a adelantarse

Con un malvado ruido

Sobre los derechos de los Humanos

Para no dejar más espacio

Ni al respeto ni al compartir

Ni siquiera  a trozo de cantos,

Hechos de poesías y de amor humano

 

Y me lastimo

Cuando me cojo el rostro

las noticias de Libia

que insisten en decirme

Que quieren volver a tomarla

Detrás de los camellos,

E impedirle el paso

A una vida digna y libre

Y que utilizan para estos fines

Viejas monturas

Que se dejan llevar

Por camellos imbéciles

y quieren hacerme olvidar

El valor del Omar que se ha elegido

Para defender el orgullo de los Hombres

 

Y reconozco que acabo por fin

A amar arriesgar mi vida

Cuando veo con mis propios ojos

Que quieren construir en nuestro hogar,

Malvados muros, en nuestros muros

Que miran hacia el cielo

Y rezan por el interés extranjero

Me doy cuenta

Que los han bien escogido

Para destruir nuestras oportunidades

Y hacernos retroceder

Como ya  he dicho

Y cuando mis ojos cansados

Ya no quieren ver

 

Y que mis lágrimas se niegan

Mi corazón empieza a latir

Y hace subir el juicio hacia mi cabeza,

Me digo que han ido demasiado lejos,

Que han exagerado sus privilegios

Que han exagerado su fuerza

Y que ya no podrán aguantar

más tiempo atados

Hombres inteligentes y decididos

a defender su fe libre

 

Y vuelvo a mis días, y digo

Cuidado, nunca olvidéis

Que la dulce y hermosa Tunicia

Puede de pronto hacerse

La madre coraje que los siglos conocieron

Y que defendió a sus hijos, con su sangre

Cuando se les quiso pisar

O alcanzar a su fe justa

Y es la tierra que pondrá en llamas

Bajo los pies del agresor

Y se bastará sólo con sus garras,

Para alejar a los malvados lobos

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